{{
Conditions d'acceptation de quête
|
Objectifs
|
Description
|
-
|
- Compléter 5 donjons de niveau adapté (sauf Ruben, Henir et Île d'Ereda)
|
La fille et le vieil homme atteignirent la ruine des anciens Elians et en ouvrirent la porte.
|
Dialogue d'achèvement de quête
|
- Aisha : Cet endroit est donc...
- La fille avait le souffle court. Elle se tenait devant un gigantesque portail antique usé par le temps. Une magie complexe du temps jadis enveloppait le portail, mais la fille ne semblait pas s'en soucier.
- Aisha : C'est ici que se trouve la bague de Mimir... Je n'aurais pas pensé qu'elle serait dans un lieu remarquable...
- Prudemment, elle tendit la main vers le portail. Le pouvoir magique se propagea le long de sa main en lui infligeant une sensation de brûlure. Rapidement, cette force entoura tout le corps de la fille et se resserra autour d'elle. Mais la fille frémit à peine, et elle ne retira pas sa main. Lorsque ses deux mains touchèrent le symbole au centre de la porte, le pouvoir magique s'agita fortement, et la terre se mit à trembler. La fille ne sourcilla pas. Elle prit une profonde respiration. Puis elle ferma les yeux et commença à réciter une formule magique dans l'ancienne langue des Elians. Le pouvoir magique réagit aussitôt à la formule magique de la fille, se dressa une dernière fois de toute sa puissance avant de retomber. Comme toujours, la fille avait encore réussi.
- Quenbaran : Aisha !
- Lorsqu'à bout de souffle, le vieil homme eut rejoint la fille, le portail de la ruine antique était déjà ouvert. Le vieil homme dépassa la fille, qui souffrait encore d'une brûlure persistante, et s'approcha de la ruine pharaonique en soupirant. Il posa une main sur la tête de son unique petite-fille.
- Quenbaran : As-tu ouvert ce portail toute seule ?
- Aisha : Oui, grand-père ! Le symbole de cette porte était exactement le même que celui sur ce vieux manuscrit ! Je me suis dit que la formule magique du manuscrit et le portail devaient être liés. J'ai juste tenté ma chance !
- Le vieil homme se rappela qu'il n'avait jamais enseigné la langue des Elians antiques à sa petite-fille. Mais cette enfant était très maline et avide de savoir. Elle s'intéressait tout particulièrement à la magie et voulait la connaître de A à Z. Le vieil homme savait pertinemment qu'elle finirait par la maîtriser dans les moindres détails.
- Quenbaran : La formule magique était inscrite dans la langue des Elians. Comment as-tu pu la lire ?
- Aisha : J'ai cherché un livre sur le royaume des Elians et je l'ai déchiffré moi-même...
- La réponse de la fille était exactement celle à laquelle le vieil homme s'attendait. Il avait mis trois ans à réunir les ouvrages, et deux années supplémentaires à en déchiffrer l'écriture. Quant à la fille, cela ne faisait qu'un an qu'elle avait eu connaissance des ouvrages et six mois seulement qu'elle avait manifesté un intérêt concret pour le sujet.
- Quenbaran : (Elle a appris la langue des Elians en seulement six mois...)
- Le vieil homme observait la fille qui regardait la ruine avec des yeux pétillants ; il riait, incrédule. Dans ces moments, il ne regrettait pas d'avoir cédé sa place de grand mage à sa petite-fille, malgré son jeune âge. Le pouvoir magique de l'enfant grandissait de jour en jour. La fille possédait une immense magie qui égalait facilement celle des mages d'Élios. Elle savait aussi comment mettre ce pouvoir en application. Le vieil homme était fermement convaincu que la fille deviendrait un jour une grande magicienne.
- Aisha : Grand-père, vite !!!
- Le légendaire artefact de la bague de Mimir possédait des pouvoirs magiques infinis. Il était forcement caché quelque part dans cette ruine. S'ils trouvaient cette bague, et si la fille parvenait à commander le pouvoir magique comme elle l'entendait... Le vieil homme avala sa salive. Dissimulant ses mains qui tremblaient, il descendit les escaliers.
- Quenbaran : Inutile de nous presser. Cet endroit est très vaste et complexe. Si nous nous égarons, il nous sera difficile de ressortir.
- Aisha : Ne t'inquiète pas, grand-père ! Je suis quand même la petite-fille de Quenbaran le sage, pas vrai ?
- En silence, le vieil homme suivait la fille enthousiaste, qui fonçait tout droit en riant.
- …
- La ruine dans laquelle ils étaient entrés avait des allures de labyrinthes. Elle était parsemée de pierres précieuses étincelantes. Mais pour s'en emparer, il fallait prendre de très grands risques. À dix reprises, ils finirent dans des impasses, et ils durent contourner trois pièges dangereux avant de parvenir au centre de la ruine. Après tous ces efforts, le vieil homme et la fille arrivèrent devant une tablette en pierre recouverte, du sol au plafond, d'inscriptions incompréhensibles des Elians. La fille ne parvint pas à dissimuler sa déception, et commença à lire en bredouillant.
- Aisha : Seule la sagesse de l'anneau... hm... les dieux... n'ont pas...
- Aisha : Je ne comprends pas ce texte. Et toi, grand-père ?
- Le vieil homme lui fit signe que non. Certains passages comportaient des inscriptions et de mots inconnus, dont ils ignoraient la signification. Ils décrivaient certainement le secret de ces ruines. Mais ils étaient sûrs d'une seule chose : la bague de Mimir était quelque part, cachée ici.
- Aisha : Par anneau, ils veulent certainement dire bague de Mimir, non ? Nous n'avons rien trouvé. Qu'est-ce qu'on peut y faire ? Quittons ce lieu un point c'est tout, grand-père !
- La fille passa devant la tablette en pierre d'un pas assuré. Le vieil homme se tint encore un moment devant la tablette en pierre en hochant la tête. Il fit un pas pour suivre la fille. C'est alors qu'il se produisit quelque chose d'étrange. La fille aurait dû se tenir juste devant lui, mais il ne pouvait plus la voir.
- Quenbaran : Aisha ! Tu m'entends ? Aisha !
- L'appel pressant du vieil homme résonnait dans la pièce. Mais il n'entendait aucune réponse de la fille.
|
Récompenses
|
Monnaie/Expérience |
Récompense normale |
Choisir récompense
|
PP |
0 |
|
Pendule du souvenir (7 jours) |
|
N/A
|
EXP |
0 |
|
N/A |
|
N/A
|
PB |
0 |
|
N/A |
|
N/A
|
}} |